MmeChaton a écrit :Tu dis que tu ne le préviens pas pour ne pas le lancer quand tu aperçois un potentiel déclencheur. Mais si la distance est suffisante, lui dire "Näyttö, il y a un coureur ; tu viens avec moi, on le laisse passer" limiterait peut-être la montée en excitation, qui semble pour l'instant se faire en flèche quand il aperçoit le stimulus ? Lui expliquer que ton déplacement est lié au joggeur, ne l'aiderait pas à faire le lien "c'est quand il y a un joggeur qu'il faut faire un détour" ? Et le fait qu'il soit prévenu en avance ne lui laisserait-il pas le temps de mieux gérer son émotion, avant le croisement ?
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Oui en effet et je pense que si je le préviens, ce que je fais d'ailleurs quand il est en longe, c'est plus facile.
Quand j'ai vu le jogger, j'ai pris le parti d'essayer de faire en sorte qu'il ne le voit pas, je prends moins de risque de nous mettre en échec s'il ne voit pas le stimulus et je n'avais pas envie de tenter le diable. Solution de facilité. Si le jogger n'avait pas tourné lui aussi dans la même direction que nous ce serait passé comme une lettre à la poste
La 2ème fois, je n'ai rien dis et j'ai essayé de changer de direction parce qu'il était bien trop loin de moi, à plus de 50m. Là si je lui demandais de laisser, déjà j'aurais du crier, et clairement je le connais je l'aurais informé qu'il y avait un truc. A cette distance c'est un électron libre