Ce week-end cours de mantrailing. L’occasion d’apprendre à connaitre Malko dans d'autres circonstances. Le premier jour il était juste top, trop

Attendre dans l’auto (bon il reste assis, ne se repose pas), les trails, le restaurant, tout et tout quoi! J’étais très fière de lui. La monitrice qui était informée de ses difficultés, j’avais repoussé le cours 2x ne le sentant pas prêt, devait se demander où était mon problème.
Le 2ème jour dès le matin (probablement qu’il a du quand même prendre un peu trop sur lui le jour 1…) ) un chien passe derrière l’auto, trop près. Wouf wouf. La monitrice me propose d’essayer un appareil émettant des sons (que nous n’entendons pas) sensés calmer le chien. 20 minutes plus tard je le retrouve complètement stressé

C’est notre tour pour le trail suivant, nous y allons. Il aboie dès qu’il doit attendre que la « victime » aille se cacher. Il a de grosses difficultés à se concentrer et aboie, aboie… La monitrice parant au plus pressé (nous sommes vers des habitations) lui offre un tube de parfait à lécher. Ça a effectivement aidé à le calmer sur le moment, mais, quand je lui ai donné la directive « trail », il ne savait plus trop quoi faire, était un peu paumé et … a aboyé. Pas simple.
Après cela j’ai réussi à le calmer avec une balade lente. Au trail suivant j’ai fait quelques pas pendant que la victime allait se cacher, la configuration des lieux le permettait, plus d’aboiements mais à ma directive il ne savait à nouveau plus trop quoi faire. Bon je pense que le stress aidant il était bien fatigué. J’ai arrêté le cours à midi avec l’accord de la monitrice. Depuis il dort du sommeil du brave.
Voilà j’ai envie de partager cela car, pour moi, ça montre vraiment l’impact du « trop » du jour d’avant et du stress.
Pour finir je ne veux pas oublier de dire que le mantrailing lui plait et qu’il a montré de bien belles choses… quand l’excitation n’est pas de la partie!

Sacré week-end quand même. Le restaurant c’était une première si longtemps, d'habitude c'est un café pas plus

Et, dans l’auto, il a fini par se coucher quand même, sans appareil

, je suis simplement restée à une vingtaine de mètres et lui ai demandé, de loin, de se taire à chaque tentative d’aboiement. Bravo le loulou pour tous ces progrès.

Je suis fière de lui.
J'aime bien la personne que mon chien me fait devenir.